Le lundi ce sera culture pourrie !
Vous l’aurez compris ami lecteur ici à chaque jour son thème. Le samedi, comme vous l’a montré Femme Pirate ici, ce sera une recette salé. Après tout nous sommes femmes au foyer donc on cuisine, on a rien d’autre à faire.
Le lundi c’est votre gentille Frau Torchon qui s’adressera à vous dans une catégorie n’ayant rien à voir avec la popotte : le lundi c’est culture pourrie. Ouaip. Pourrie.
J’aime les livres. A la folie. Et je lis beaucoup. Tellement que je lis tout ce qui passe. De la littérature aux romans (?) Harlequin, en passant par le dos de la boîte de céréales. TOUT. Or des blogs sur la « bonne » littérature il en existe des dizaines, certains même plutôt pas trop mal. Faire la même chose ne m’intéresse pas. Nan. Ce dont je vais vous parler ce sont des bouquins qui ne sont pas de la culture. Là-dedans je vous parlerais de deux sortes d’ouvrages. Ceux qui n’ont aucune ambition littéraire, Harlequin et autres nanars bienfaisants, et ceux qui en voulant être de la littérature tombent dans un ridicule merveilleux. L’internaute aimant les images parlantes je dirais que les premiers sont comme Loana qui nous parlerai du bienfait de se faire des rails de coke tandis que les seconds seraient comme cette même bimbo qui voudrait nous exposer l’écotoxicologie de l’alcaloïde extrait de la coca.
Lundi prochain nous commencerons donc par un Harlequin. Ouaip. Celui là :
Vous voulez savoir qui est écrit dessus ? Voilà :
Italie, 410 av. J.C.
Arrachée à une vie dorée d’aristocrate et réduite par la guerre à la condition d’esclave, Julia est désormais la propriété exclusive du guerrier Wulfric. Malgré sa fierté, elle doit admettre que servir un tel maître n’est pas si désagréable. En effet, cet homme se montre étonnamment protecteur envers elle. Mais Wulfric est aussi un chef barbare qui, en bon stratège, envisage d’épouser la princesse d’un autre clan. Une perspective qui désespère Julia, car une fois marié, il est certain que Wulfric ne lui accordera plus le même traitement de faveur. Pire, elle devra s’habituer à le voir dans les bras d’une autre ; et ce serait déjà plus qu’elle ne peut endurer…
Allez, patience ! A lundi prochain, en compagnie de Wulfric le barbare…
Frau Torchon